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Suivie 1

Une dame, sûrement âgée, sac à main sur l'épaule, veste sur le bras et petit papier dans la main. Elle longe la « rue des Cordeliers », regarde à droite, à gauche; magasin de bijoux, magasin de chaussures, elle est distraite par toute les vitrines, vitrine de librairie pour enfant, magasin pour vêtement d'enfant, agence immobilière, elle regarde brièvement le document qu'elle tient dans les mains. Marche au milieu de la rue, se faufile dans la foule. Elle se déplace lentement, regarde au sol, continu tout droit, regarde encore les vitrines, part sur la gauche pour éviter les gens qui arrivent en sens inverse, regarde attentivement de grandes boîtes métalliques à coté de l’Hôtel de Ville. Elle porte sous son épaule une boîte à chaussures. Nous arrivons à hauteur de la place de la Mairie. Elle regarde sur le sol, prend sur la gauche, elle entre dans la bibliothèque du hall du grain et en ressort soudainement, pour finalement aller à la poste, elle s'était sans doute trompée de porte. FIN

Suivie 2

Jeune home, des écouteurs sur les oreilles, téléphone portable entre les mains, sans doute entrain de lire ses messages. Monte la rue et prend sur la gauche, passe entre des scooters garés en bas de la place de la Mairie, se dirige vers le haut de cette place d'un pas déterminé. Il marche très vite, il continue de monter la rue rapidement, il à l'air très concentré, sûrement isolé par sa musique. Il continue d'avancer tout droit, regarde de temps en temps à droite et à gauche, j'essaie de le rattraper il est très rapide. Il prend sur la gauche, il tourne, se dirige vers un bâtiment, « science politique », il fait la bise à un ami, enlève ses écouteurs, puis discute. Il est arrivé à destination. FIN

Suivie 3

Après avoir terminé sa journée à mendier, comme tous les jours au même endroit, elle se lève. Elle porte sur le dos un gros sac marron en plastique, elle a aussi un sac noir froissé puis un sac blanc dans la main gauche. C'est une vielle dame de petite taille. Elle se met à discuter avec quelqu’un qu'elle connait surement, ils se donnent de leurs nouvelles. Je perçois comme un problème de communication, elle n’a pas l’air de maitriser la langue, après quelques minutes ils metten fin à la discussion. Ils ont évoqué la fièvre, devaient s’agir de quelqu’un de malade ou d’elle même. Elle a dans la main une pomme qu'elle mort, marche entre les personnes. Un scooter devant, elle l'évite. Nous sommes de nouveau à hauteur de la place de la Mairie. Elle marche lentement, sans doute due au poids de son sac sur le dos, elle regarde sur la droite la « rue des Cordelier », continue de manger sa pomme, nous sommes maintenant au niveau de la place Richelm, Elle regarde sur la droite la vitrine d'un magasin pour enfant en solde, c'est la saison des soldes en ce moment en ville, du coup toutes les vitrines on les mots, soldes, -20, -50 pourcent, ultime démarque etc. Elle slalome entre les gens passe entre les personnes. Nous nous trouvons maintenant à niveau de la Rue Bédaride, qu'elle empreinte, elle se met sur le coté droit de la rue, de temps en temps réajuste ses cheveux entre son foulard. Elle vient de jeter son trônions de pomme sur le sol, salut une amies qui porte un balais et du produit de nettoyage dans les bras, ils parlent dans une langue qui m’est étrangère. Elle continue son chemin, nous sommes presque arrivé à la fin de la rue Bédaride, elle prend sur la droite, nous sommes maintenant dan la « rue Esparia », il y a beaucoup de personnes, elle rencontre encore quelqu’un assis sur les marches d’une église ils discutent. FIN